à l’ère des communications numériques »
L’Université européenne du volontariat version 2016 s’adresse à trois types de public, qui se réuniront aussi bien lors de temps d’échange spécifiques que communs :
les universitaires pourront présenter les résultats de leurs recherches et en discuter lors d’un colloque international. Six axes seront développés pour analyser les particularités des RSN : droit, sécurité et éthique, économie, communication publique et politique, communication interne, les non-usages et langues et culture.
les salariés et bénévoles/volontaires d’organisations auront l’occasion durant deux journées d’échanger et de s’informer sur de nombreuses expériences menées dans le domaine digital. Cinq axes seront développés pour analyser les particularités des RSN : travail social (par ex. avec des personnes âgées, des personnes porteuses de handicap), organisation et communication, mise en réseau des propositions d’aide de particuliers avec des services sociaux (par ex. pour l’aide aux migrants ou lors de catastrophes naturelles), plateformes citoyennes dans les villes et les campagnes, cyber-volontariat.
le grand public, les femmes et hommes politiques ainsi que les médias et autres pourront s’informer sur la manière dont les relations humaines se modifient sous l’influence de ces nouvelles technologies numériques. La présence d’experts les aidera à mieux comprendre ces mutations en cours.
Sans céder ni aux mirages de la modernité, ni aux affres du « c’était mieux avant », l’objectif principal de cette université européenne est de faire le point sur les usages et effets des RSN dans le bénévolat et le travail social, et comme outil du lien social en général. A l’instar de ses organisateurs, cette manifestation veut tout autant discuter les problèmes qui se posent et les usages qui se mettent en place en France, en Allemagne, en Europe et dans le reste du monde. Elle se déroulera donc en trois langues : français, allemand et anglais.
Le premier jour sera ouvert au grand public et aux personnalités politiques. Les deuxième et troisième jours seront plus spécialement dédiés aux échanges entre universitaires d’une part et salariés et bénévoles des organisations sociales d’autres part. Le quatrième jour s’adressera de nouveau au grand public.
De nombreuses institutions internationales, régionales et locales sont invitées à participer : le Parlement européen, le Conseil de l’Europe, la Région ALCA, le Département du Bas-Rhin, l’Eurométropole.
Il y a deux manières de participer à la huitième Université Européenne du volontariat : en tant qu’auditeur, en tant qu’intervenant. Les intervenants devront préalablement soumettre leur sujet aux organisateurs (rendu des propositions d’intervention avant le 31 mars 2016).
Les universitaires (chercheurs, enseignants, étudiants) qui le souhaitent sont invités à présenter leur sujet d’étude sur une page maximum et à l’envoyer par email à Philippe Viallon (euv2016@unistra.fr). Les présentations répondront aux attentes habituelles d’une candidature à un colloque international. Un jury procédera à la sélection des intervenants.
Les membres d’organisations faisant intervenir des bénévoles sont invités à présenter les résultats de leurs expériences et observations sur une page maximum. Ils l’enverront par email à l’adresse euv2016@caritas-alsace.org. La présentation devra comporter le nom et l’objet de la structure, les nom et prénom de l’intervenant, son statut au sein de la structure, le sujet de sa présentation. Un jury procédera à la sélection des intervenants.
Les informations pratiques pour participer à l’Université – formulaires et frais d’inscriptions, hébergement, restauration, programme détaillé – sont accessibles depuis le site internet www.euvolunteering.org andwww.iave.org.
La chaire Unesco « Pratiques journalistiques et médiatiques : entre mondialisation et diversité culturelle » est sous la responsabilité du Professeur Philippe Viallon, Université de Strasbourg. Elle a pour objectif d’améliorer la compréhension des nouveaux usages induits par les nouvelles technologies aussi bien au niveau local que mondial.
Caritas Alsace Réseau Secours Catholique - représentée par Jean-Marie Schiffli (Président) et Laurent Hochart, (délégué diocésain) - est engagée depuis plus de 110 ans dans la lutte contre la précarité ; sa mission est reconnue d’utilité publique. Caritas Alsace agit grâce au soutien de ses donateurs et de ses 1 762 bénévoles, qui accueillent plus de 28 000 personnes parmi les plus pauvres en Alsace. Ils agissent avec elles pour les aider à retrouver des conditions de vie dignes et lutter contre l’exclusion.
IAVE (International Association for Volunteer Effort) – représentée par Eugen Baldas (délégué européen et vice-président d’IAVE) – est la seule organisation mondiale du volontariat (fondée en 1981), présente dans plus de 70 pays. Elle promeut une culture globale du volontariat qui contribue à un monde plus juste, plus pacifique, plus inclusif et plus solidaire. Elle met en œuvre des échanges, des formations, des évènements festifs pour des réseaux de volontaires.
ICVolontaires (ICV) – représentée par Viola Krebs, basée à Genève – est une organisation internationale à but non lucratif, spécialisée dans le domaine de la communication, et en particulier les langues, les technologies, le cyber volontariat et le soutien de conférences. ICV dispose de volontaires et de partenaires dans 180 pays.
La Caritas du diocèse de Fribourg – représentée par son directeur, Monseigneur Bernhard Appel – est la principale organisation à but non lucratif de l’aide sociale dans le Bade-Wurtemberg en Allemagne. La Caritas propose des services d’aide à la personne dans divers domaines. Professionnels et volontaires travaillent ensemble.
L’association Université européenne du volontariat – représentée par le Professeur Georg von Schurbein, du Centre Philantropie de l’Université de Bâle, basée à Bâle en Suisse est constituée de personnes physiques et morales. Elle soutient notamment la tenue de l’Université Européenne du Volontariat.
La 8ème Université Européenne du Volontariat bénéficie du Haut-Patronage du Parlement Européen, en la personne de Martin SCHULZ, Président du Parlement Européen.